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Carnet de terrain | Le Parc, une terre de migration
Le printemps est de retour. Avec lui, le temps des migrations. Comme chaque année, le territoire du Parc s’apprête à devenir terre d’accueil pour des voyageurs au long cours.
À l’image des grues cendrées, certains oiseaux n’y font qu‘un bref passage parfois sans escale, trop attirés par les terres scandinaves où ils passeront l’été. D’autres profitent des aires de repos que constituent les zones humides de l’Artense et du Cézallier.
Mais, comme les hirondelles, la grande majorité des oiseaux migrateurs que l’on peut observer sur le territoire du Parc y reste toute la belle saison jusqu’à ce que les fraîcheurs de l’automne leur indiquent le moment de repartir vers la péninsule ibérique voire le continent africain.
Enfin, certains oiseaux sont des migrateurs partiels. Quelques couples semblent avoir plus durablement élu domicile en Auvergne. Déjà en pleine couvaison en ce mois d’avril, le milan royal en est un exemple au même titre que l’alouette des champs, le pinson des arbres ou la pie grièche grise.
© textes et illustrations Frédéric Pigot / Peyre-Arse Presse
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